samedi 24 juin 2017

Carole 'ICELLE' & Christian-Edziré 'ICELUI' Déquesnes


Le sursis en conséquence 
de Carole Carcillo Mesrobian
-Les Editions du Littéraire.
Trop souvent ce qu'il demeure des mot de la poésie ne prouve rien sauf si seulement il y a corridors pareils à de lumineux passages comme en exemple celui qui de par l'annonce du toujours le soleil des Hommes-en-noirs étrangleurs des certitudes en plaine de Picardie invisibles pourtant à jamais présents sur la chaussée... Toudi su l'coéchie... Ils conduisent l'iceux couple jusqu'en la rue de l'église de Mortefontaine au Logis dech solé ed chés lanchrons àrlanchants pour nous avertir à nouveau que les mots du miracle des lignes de Carole 'Icelle' effacent les insultes au cerveau et à la peau de l'innocence à l'Or de Lénore forger le formel démenti afin d'avertir la faussement initiée des mots de criardes craies sur fond noir que la fille n'est pas d'addictions effrontées, ni le fils Dollar Narcisse car Madame la déguisée-artiste vaguement Gizizi Star-Trust n'a que le goût mauvais goût en baudruche de pacotille à se vouloir faire voir et encore ridicule de se penser chamane mais n'est pas Sacha Man, ni Andréa Paradise qui veut et les toujours savoir sourds à la musique des fils d'or de l'Ayayayayaya du peintre situationniste de la Grande crétinerie de la Picardie Mentale, Konrad Schmitt, l'unique qui vaille que vaille travaille à la manière du Roi Arth si invisiblement que nul à l'exception de Saint-Marcq, pour le moment, et élus qui le présentent, auront la révélations que les mots du soleil de pissenlits éclairants et ceux d'Icelle sont à contre page par son partage de son arts vers les plus pauvres, humbles afin de leur offrir l'ascension des connaissances hautement éveillées à l'amour suprême et que l'Univers me pardonne mes fautes et les vôtres de par Le sursis en conséquence. 

Bien et trop souvent ce qu'il demeure des mots de la poésie démontre rien sauf si tels ceux d'Icelle les vents de l'Univers soufflent jusqu'en le plus profond de nos regards et de nos regrets les perles étoilées de l'Humanité et bien au delà de la conséquence de son sursis, en quelque sorte, une Nova pour une Révolution d'un nouvel agencement des cailloux de sable, brille à jamais. Ce livre sacré est magique, il annule le mal qui le et nous côtoie.
Christian-Edziré 'Icelui' Déquesnes

Disponible via les lignes de vente d'Amazon.

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FABULEUX ! L'ANGE DE CARDIFF SE REBIFFE !
- 2000, SO THE ANGEL !
S.O.D.A 2000

"Il est urgent que l'art (re)devienne la dérisoire bagatelle qui annule les certitudes prétentieuses. reconquérir la poésie ordinaire... Une paire de ciseaux, des bâtons de colle, des prospectus touristiques, des vignettes postales... découper, assembler, détourner. Ecrire sur des vieux cahiers d'écolier récupérés dans les fonds des tiroirs de l'enfance, dans les poubelles de l'adolescence"
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Extrait de : Les Lettres de la nuit de Christian-Edziré Déquesnes - 1999, S.U.E.L.

[...]Le MAIL ART, "l'art" comme un jeu sans prétention, à la portée de tous [...] 2000, SO THE ANGEL est un montage-collage de Christian-Edziré Déquesnes "déssaqué" (tiré de la tripe) en l'an 2000 [...] Le MAIL ART est un mouvement créatif , international, informel, totalement libre et indépendant. Poésie concrète, visuelle, interactive ; héritière de pratiques apparues avec le dadaïsme, les surréalistes, le mouvement Fluxus, le Lettrisme, le situationnisme (creusé de la plastique-esthétique qui s'imposera via le mouvement de révolte de mai 68) et surtout auparavant via la beat-génération.

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